
Utilisant toujours les mêmes prétextes sur les contraintes budgétaires imposées par l'Etat aux collectivités locales, le maire nous saoule pendant un quart d'heure pour finalement tenter de justifier aux yeux des moriérois qu'il n'a une fois plus d'autre solution que le recours au pompage dans le revenu des ménages.
Après une très laborieuse explication de l'orientation budgétaire par l'adjointe aux finance qui manifestement ne maîtrisait pas le sujet, et dont la projection sur écran était une fois de plus illisible et quasi incompréhensible pour l'assistance, l'opposition fait remarquer qu'il n'a pas été fait mention d'économies dans le domaine des subventions dont certaines sont choquantes.
Reprenant la parole, notre édile manque de s'étrangler en décrétant que "tant que nous serons là nous continueront à accorder les mêmes subventions" et alors que personne ne le lui demandait, il rajoute qu'il continuera à utiliser du personnel d'entretien en régie plutôt que des entreprises bien que cela coûterai 40 % de moins à la commune (sic).
Manifestement il a voulu démontrer de façon maladroite qu'il faisait du social comme il aime à le dire à tout propos, mais cette démarche stupide démontre l'incompétence en matière de gestion fiscale de cette équipe dont la continuité réside dans la fuite en avant pour ne pas avoir à se désavouer.
Et encore une fois : << circulez y'a rien à voir>>
Monsieur le maire, votre incompétence va encore cette année nous couter cher, mais viendra le temps ou lassés de se faire plumer, le poulailler réagira.
Caramba
1 commentaire:
les dépenses de fonctionnement sont, pour 50%, des dépenses de personnel, il serait grand temps que notre maire convienne que, sans réduction des effectifs superflus, le vaguemestre par exemple, il n'y a que des économies sans importance à réaliser. si on ajoute à cela que les dépenses comme les subventions abusives accordées à certaines associations, ne représentent rien au regard des coûts de fonctionnement, selon ses dires, on voit bien que nos dirigeants ne veulent pas réduire les déficits mais préfèrent taper le contribuable (je n'ai pas écris le con tribuable et pourtant...)
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