Union des Droites pour Morières

Notre équipe pour qui l'intérêt général compte plus qu'une appartenance politique, est ouverte, riche de ses différences, disponible et à l'écoute de chacun. Ce que notre équipe défend, c'est une volonté de gérer au mieux les intérêts de nos concitoyens.

« Tout peut, ici, être dit, même s’il n’est pas interdit d’être argumenté et pertinent. La seule condition posée est de respecter les règles élémentaires de la civilité : les propos injurieux ou outranciers sont évidemment à proscrire »
Un modérateur y veille.
Bienvenue !


vendredi 20 juillet 2012

Trève estivale

Très chers amis blogueurs,
Comme beaucoup d'entre vous, les animateurs de votre blog préféré prennent un peu de repos bien mérité avant une rentrée qui s'annonce pour le moins préoccupante, tant par la situation économique de notre pays que par les lois et décrets qui pleuvent et vont à l'encontre de l'intérêt des travailleurs à qui il a été promis que le changement allait leur apporter une qualité de vie meilleure, pauvres crédules qui y ont cru, le pire c'est qu'ils nous ont entraînés dans le gouffre.
Profitons donc de ces derniers instants de répit mais restons vigilants, des fois que l'euphorie des roses-rouges-verts donne de mauvaises idées à nos décideurs locaux.
Bien amicalement
MORIERES 2014

jeudi 12 juillet 2012

François Pignon en visite à Londres

Photo Reuters


Normal Ier dont les blagues ne font rire que les journalistes bobos, avec son costume fripé, une manche de chemise plus longue que l'autre, on comprend le sourire narquois du garde derrière lui. Quelle image de la France donne cet incompétent sans allure, et quand on se souviens des moqueries sur la taille de NS, on entend bien peu parler de celle de Flanby.





Et encore, tu n'as pas vu la tête de la famille royale pendant la revue :
image du web
Ah, l'humour anglais... J'adore !









jeudi 5 juillet 2012

Il y à déja 50 ans, triste anniversaire.

Pour les nombreux Pieds Noirs qui résident dans la commune   et pour info en général :
Les 50 ans de Carnoux , village d'accueil des pieds noirs.
 C'est l'histoire d'une petite commune de Provence sortie de terre dans les années 1960 par la volonté de pieds-noirs du Maroc et d'Algérie. Cinquante ans plus tard, les traces du passé s'estompent mais les souvenirs et le désir de mémoire, eux, restent vifs.

Le 5 juillet 1962, l'Algérie proclame son indépendance, des milliers de rapatriés affluent sur les rives nord de la Méditerranée. Certains entendent parler d'une expérience atypique: à une vingtaine de kilomètres de Marseille, dans un vallon désert sans route, eau ni électricité, Emilien Prophète a lancé en 1957 une coopérative immobilière pour loger les rapatriés.


Des villas à toit plat, comme au Maghreb, ont été érigées, mais les financements manquent et les problèmes judiciaires s'accumulent sur fond de soupçons de détournement de fonds.

L'arrivée des pieds-noirs d'Algérie redonne un élan à l'aventure, raconte Nicolas Bouland, fils de rapatriés, auteur d'un mémoire sur le sujet. D'une centaine d'habitants en 1959, la population grimpe à 400 en 1962, 1.000 en 1964, puis en août 1966, c'est la consécration: Carnoux devient "la 119e et dernière commune du département des Bouches-du-Rhône, la seule en France à être née d'une initiative privée".

Après cinq générations passées à Annaba, Bône sous la colonisation française, dans l'est algérien, la famille Fenech a passé son premier hiver français à Carnoux, sous la neige, avant de s'installer dans le charmant port voisin de Cassis. Mais ils ont gardé des attaches dans cette ville devenue symbole de la communauté en exil.

Christian Fenech, arrivé en France dans le ventre de sa mère, y a créé l'association "Racine pieds-noirs" pour "défendre une histoire tragique, injuste, mais belle".

"Une thérapie"Témoins de cette histoire, l'église a été baptisée Notre-Dame-d'Afrique, du nom de la basilique d'Alger, et les cloches viennent de la région d'Oran. A l'intérieur, une réplique de la Vierge noire sur une barque quittant le continent africain. Dans le cimetière, des épitaphes du type "repose en terre pied-noir". Jusqu'en 1981, un simple titre de rapatriement donnait le droit de s'y faire enterrer.

Des noms évocateurs (avenue du Maréchal Juin, stade Marcel Cerdan...), une croix sur la colline orientée en direction de Sidi-Ferruch, lieu historique du débarquement des Français en Algérie en 1830, un pèlerinage pied-noir le 15 août... Carnoux, aujourd'hui ville-dortoir ouverte sur l'extérieur, ne renie pas son passé.

Près de la moitié de ses 7.300 habitants sont encore pieds-noirs et descendants de pieds-noirs. "Carnoux a été une thérapie, une catharsis, l'intégration a été plus simple", relève M. Bouland.

"On a tiré un trait, on ne vit pas dans la nostalgérie, assure Julien Fenech, 75 ans, autour d'un verre d'anisette et d'une tourte "bônoise".

Mais quand on évoque les souvenirs enfouis, l'émotion affleure, la gorge se serre. "Oui, je garde la rage, la rancoeur, on a dû repartir de zéro", nos parents et grand-parents ne s'en sont jamais remis, lance le septuagénaire, dont le père a été tué par le Front de libération nationale (FLN) en 1956.

"Nous n'étions pas des tortionnaires, mais des travailleurs qui aimaient leur pays et la France", insiste M. Fenech, rappelant "la bonne entente entre les communautés". Et de montrer une photo de classe, avec au dos des petits mots de ses "copains arabes".

Entraîné par son fils, il est retourné sur sa terre natale en 2006. "Stop, c'est fini, je ne veux plus y retourner, je n'ai pas reconnu mon pays, même si j'ai été bien accueilli par les vieux". Car, déplore-t-il, là-bas comme ici, peu de jeunes s'intéressent à leurs racines.

  Source :Maritima Info        
(30.06.2012) 
Je remercie chaleureusement notre élue d'opposition  Viviane Richard qui m'a transmis cette information.
G. Souque

mardi 3 juillet 2012

                
Chers tous,


Jeudi 28 juin nous avons passé une soirée super agréable. (voir les photos jointes) Dommage pour les absents...
Nous étions une centaine de personnes à partager une paëlla délicieuse, précédée d'une sublime Sangria et pour les fan de foot, nous avions la demi-finale sur grand écran.
                       
Lors du dessert, il a été proposé une loterie sur le thème des "Vacances", de nombreux lots ont été distribués aux heureux gagnants. L'ambiance a été chaleureuse, amicale et bon enfant.                                                           

L'ensemble des participants a bien montré sa détermination à affirmer avec vigueur une "Droite Unie Large et Ouverte" à MORIERES.                       

 Amitiés

Morières 2014