Union des Droites pour Morières

Notre équipe pour qui l'intérêt général compte plus qu'une appartenance politique, est ouverte, riche de ses différences, disponible et à l'écoute de chacun. Ce que notre équipe défend, c'est une volonté de gérer au mieux les intérêts de nos concitoyens.

« Tout peut, ici, être dit, même s’il n’est pas interdit d’être argumenté et pertinent. La seule condition posée est de respecter les règles élémentaires de la civilité : les propos injurieux ou outranciers sont évidemment à proscrire »
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mercredi 19 janvier 2011

Nous remercions ………………………..le con qui décolle nos affiches.

Depuis quelques semaines nous avons commencé la campagne d’affichage en vue des prochaines cantonales sur notre commune. En militants motivés et convaincus, nous donnons de notre temps pour faire avancer nos idées. Malgré le froid, la pluie et le vent, nous accomplissons cette tache citoyenne en n’utilisant que les emplacements prévus à cet effet, à savoir les 16 buses de la commune. On ne peut pas aimer sa ville et défigurer cette dernière par un affichage sauvage. Par respect pour les autres candidats nous ne collons pas sur les affiches des autres concurrents.

Malgré tout, un con s’évertue à déchirer nos affiches après notre passage. Ne le voyant pas agir, le con est généralement discret et honteux, rarement fier de ses agissements, nous nous adressons à lui ou eux par l’intermédiaire de votre blog. Nous remercions ce ou ces derniers pour leur comportement courageux et citoyen. Nous préférons que les cons soient chez la concurrence plutôt que chez nous. Nous conseillons toutefois à ce ou ces grands démocrates l’utilisation du viagra pour régler leurs problèmes d’impuissance chronique. Ils ne s’en porteront que mieux et leurs épouses (si elles ne sont pas déjà parties avec un moins con) également. Enfin, contrairement à l’idée répandue, les cons ne sont pas réformables ; les campagnes de prévention ou les actions pédagogiques n’ont pas de prise sur eux. Une seule chose peut les amener non pas à changer, mais du moins à se tenir tranquille : la peur. Nous voulons qu’ils sachent que nous les surveillons et que le temps de l’impunité est révolu.

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