Union des Droites pour Morières

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mercredi 11 août 2010

Lors du conseil municipal du 7 février 2006, la municipalité de Morières sur proposition de l’adjointe à la solidarité, avait décidé la nomination d’ingrid Betancourt comme citoyenne d’honneur de notre ville. Au vu de l’épilogue de cette histoire, le ferait-elle aujourd’hui ?

En effet, Ingrid Betancourt a renoncé mardi à la demande d’indemnisation de près de huit millions de dollars présentée fin juin à l’Etat colombien, après avoir déclenché une vague d’indignation en Colombie pour son « ingratitude ». Ingrid Betancourt avait présenté le 30 juin une requête estimant que l’Etat devait lui verser quelque huit millions de dollars pour les dommages économiques et moraux entraînés par ses six années passées aux mains des communiste-Farc. L’ex-otage de la guérilla des Forces armées révolutionnaires de Colombie a estimé que l’Etat avait insuffisamment assuré sa sécurité le 23 février 2002.
La requête, a déclenché en Colombie une vague d’indignation. Le principal hebdomadaire politique du pays, a ainsi consacré dimanche sa Une à l’ex-otage, avec sa photo accompagnée d’un seul mot: « honteux ».
Le vice-président Francisco Santos l’a pour sa part qualifiée de « prix mondial de l’ingratitude », tandis que le ministère de la Défense rappelait que l’ex-candidate à la présidentielle de 2002 avait été libérée lors d’une opération militaire durant laquelle « des femmes et les hommes avaient risqué leur vie », le 2 juillet 2008.
Attaquée de toutes parts, Ingrid Betancourt a tenté de se défendre, en accordant un entretien à la presse, au cours duquel elle a admis que la somme demandée était « astronomique » et « absurde ». Durant cet entretien, elle a fini par déclarer, en larmes, qu’elle regrettait son geste.
Après avoir été une véritable icône durant ses années d'enlèvement, Ingrid Bétancourt semble montrer depuis une autre facette de sa personnalité, beaucoup moins attirante. Une fois libérée, Ingrid Bétancourt a ignoré son mari qui avait travaillé avec acharnement pour sa libération, mais aussi son assistante qui avait été enlevé avec elle, Clara Rojas. Depuis, les langues se sont déliées et il apparaît que cette femme n'est pas aussi « lisse », mais plutôt arrogante, égoïste et orgueilleuse. (vu dans la presse)

1 commentaire:

Picador a dit…

Alors celle-là, elle y va fort !!! Candidate à une élection politique en Colombie, la dame a pris le risque insensé, en dépit de toutes les mises en garde adressées par son gouvernement, d'aller faire campagne dans une zone qu'elle savait extrêmement dangereuse pour sa sécurité. Sa prise en otage par les FARC est donc la résultante directe de sa prise de risque indiscutablement frappée, me semble-t-il - du sceau de l'irresponsabilité. Il s'agit là d'un refus manifeste d'assumer à posteriori ses propres erreurs. Et oser demander par-dessus le marché une indemnisation aussi astronomique ! Son engagement politique ne servait en rien les intérêts ou les libertés de la France que je sache. Notre pays a déployé des efforts considérables qui ont déjà coûté beaucoup d'argent aux contribuables français pour obtenir sa libération, la France ne lui doit rien de plus… Une faille de plus dans l'image de cette femme politique dont certains ont voulu faire une icône. En se comportant de la sorte, l'icône vient indubitablement de perdre son "I" ...! Et là, c'est pas de bol pour les élus de Morières qui se sont un peu trop vite exaltés sur le personnage Ingrid Betancourt, peut-être pas aussi glorieux qu'ils l'avaient pensé. D'ici qu'on s'aperçoive un de ces quatre matins que la belle Olympe de Gouge se traîne aussi quelque part une image écornée ... ?