
Ces murs avaient connu, le siège de Richelieu venu prendre la ville, reparti victorieux
Les siècles sont passés, Mais cette cité fière présente sans trembler, son visage à la mer. Mais celle qui aujourd’hui, rêve de la faire tomber pilotée de Paris, est venue de Poitiers
Elle se croyait sans doute, dans un terrain conquis qu’elle arriva certaine, de gagner la partie mais c’était sans compter, sur sa capacité à perdre tous les combats, qu’elle crut toujours gagnés
Sans compter également, sur l’homme qui terré dans les ruelles étroites, de sa ville tant aimée regardait amusé, Royal parachutée savait bien que ici, elle allait s’écraser
Avec un grand panache, celui de l’insouciance Falorni attendait, l’heure de la résistance ramassa le drapeau et le leva bien haut la bataille commençait contre Solférino

Face aux déracinés, qui d’orgueil boursouflés considère les français, dénués de fierté rendant ainsi hommage, aux héros du passé qui à travers les âges, et désintéressés combattirent sans relâche, les plus odieux outrages Falorni décida, d’écouter les suffrages
Les ennemis d’hier, qui jadis l’insultaient en cortège mortuaire, à son secours volaient. Même le président, le père de ses enfants soutenait cette intruse, dans un ultime élan

C’est bien au fond des lits, qu’on dirige les français.
Cette gauche si normale, qui n’a jamais cessé de nous faire la morale, de vanter sa pureté montre qu’elle sait maintenant, se gaver de caviar tout en nous dirigeant, du fond de son plumard
Falorni mon héros, dresse toi sur tes pieds contre tous ces bobos, et ces déracinés ecrase cette migratrice, qui rêvait du perchoir et bats cette amatrice, vas chercher ta victoire.
Et dimanche soir prochain, à travers le pays s’élèvera enfin, de la France un grand cri celui du soulagement, et de la gratitude on dira tes louanges, ton immense bravitude.

Source : blog de Madame Michu 14.06.2012 Foxy
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